L’attrapeur de rêves

Un poème sur le deuil.

 

Enfant de la lune, et des étoiles, 

Cheveux d’ébène au teint pâle, 

Ça fait longtemps que tu marches, 

Que tu parcours le chemin.

N’auras-tu pas le mal du pays un matin? 

On s’inquiète trop des ciels qui ne répondent pas. 

Les étoiles continuent d’être, 

Même si de jour, on ne les voit pas. 

Les soirs d’été, on entend rire, 

Son de clochette.  

Sortie de nulle part, une voix espiègle: 

Dors, ce soir, sois tranquille. 

Cette fois c’est moi qui te regarderai dormir

Et le mirage, c’était d’apercevoir un garçon sauter dans les jardins, 

Faire signe. 

N’aie pas peur, 

Si tu te lèves demain,

Avec mon nom à l’intérieur. 

Cette intuition, 

C’était juste moi, qui, un instant, 

Voulait rentrer à la maison. — 


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